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Bien choisir sa canne leurre truite. La pêche de la truite aux leurres s’est bien développée depuis une vingtaine d’années. Autrefois réservée à la seule cuillère tournante, elle s’étend désormais aux leurres souples, cuillères ondulantes spécialisées et poisson-nageurs. Oui mais quelle canne pour la pêche de la truite au leurre ou poisson nageur?
1. Qu’entend-on par poissons-nageurs ?
Les poissons nageurs sont des leurres souvent très imitatifs si on les compare à des cuillères tournantes. Qu’ils soient sculptés en bois ou moulés en ABS, leurs concepteurs recherchent souvent à imiter tant les proportions que les détails morphologiques des poissonnets dont se nourrissent les truites. Généralement munis d’une bavette transparente placée sous la tête, ils frétillent plus ou moins fortement, selon leur construction, quand on les récupère ou lorsque le courant appuie sur cette bavette.
- Jerkbaits, souvent appelés minnows. Leur corps fuselé et de section assez fine, imite parfaitement la silhouette d’un petit vairon ou autre chevesne et vandoise.
- Longbill minnows, qui sont une évolution des jerkbaits mais agrémentés d’une longue bavette pour pêcher en profondeur.
- Crankbaits, trapus et dotés d’une bavette de longueur variable, ils sont de plus en plus populaires. A taille égale, leurs signaux vibratoires sont très puissants par rapport à des jerkbaits.
2. Pêche de la truite au leurre. Toutes les cannes ne se valent pas !
Choisir une bonne canne à leurre truite ou poissons nageurs demande d’avoir quelques notions de base si l’on souhaite tirer le maximum de ces leurres tellement efficaces, que l’on pêche en ruisseau ou en rivière plus large. En effet, comme tout leurre qui s’anime en linéaire, de manière plus ou moins continue il vaudra mieux privilégier une canne dotée d’une action semi-rapide. Également nommée Regular-Fast, cette action se caractérise par une courbure du blank sur le tiers supérieur et définit des cannes assez douces mais néanmoins assez nerveuses pour effectuer des animations plus vives de temps en temps. Cette progressivité du scion permet de donner une grande liberté de nage au poisson-nageur et d’amortir les attaques, souvent brutales, des truites en chasse dans les courants.
Vous verrez, votre taux de ferrages réussis, et donc de captures, augmenteront de manière significative si on les comparait avec ceux obtenus avec une cannes d’action rapide (Fast), trop réactive pour ce genre de technique. Il ne vous reste qu’à choisir la longueur de cette canne qui vous permettra de pêcher confortablement selon le gabarit du cours d’eau et sa puissance et en fonction de la taille des poisson-nageurs utilisés. Tout cela va généralement de pair, petite rivière = canne courte et leurre de petite dimension et inversement pour une rivière de plus grand gabarit. Une canne assez polyvalente serait un modèle de 1.90 m pour une puissance de 2 à 7 g.
Canne leurre truite Tsubaki de la marque Sakura
Lors de votre achat, nous vous conseillons de tester votre canne, avec le moulinet que vous allez y monter. Les deux ne font qu’un et l’équilibre de l’ensemble, plus encore que son poids, est important pour pratiquer confortablement toute une journée en restant précis et efficace.
Pour aller plus loin dans votre recherche d’une canne truite leurre
Afin approfondir vos connaissances sur la pêche de la truite, n’hésitez à consulter notre site internet garbolino.fr, et suivez nous sur notre chaîne Youtube.
Vous pourrez y retrouver pour tous les produits et toutes les pêches portés par la marque:
- des conseils et fiches techniques produits
- des articles relatifs à des parties de pêche ou sur les stratégies à adopter
- mais aussi des articles avec des conseils sur les principes et règles à respecter pour une partie de pêche réussie.
Histoire
Fondée en 1945 par Henri Garbolino, l’entreprise est une
marque de pêche française, . En 1960, les premières cannes en fibre de verre apparaissent. Dès 1977, c’est le composite qui apparaît. Puis, le carbone avec de l’utilisation de l’enroulement ou des nappes. Aujourd’hui, la majorité des pays européens ont des produits Garbolino sur leur marché. Parmi les différentes techniques de pêche, la marque se concentre en particulier sur la pêche au coup,
grande canne, anglaise et feeder. Elle est aussi une marque reconnue pour la
pêche de la truite aux appâts naturels.
Pour bien choisir son moulinet de pêche au toc, il est utile de connaître les différentes catégories. Essayons d’y voir plus clair !
Un moulinet réserve de fil avec une extension guide fil
2 grandes catégories de moulinet pour la pêche au toc
Il existe deux grandes familles de moulinet pour la pêche au toc :
- les moulinets à lancer à tambour fixe
- les récupérateurs ou réserves de fil.
1. Les moulinets pêche au toc à tambour fixe
Les moulinets à lancer à « tambour fixe » existent en frein avant et frein arrière. Nous vous conseillons un frein avant, car son frein est plus doux et permet un réglage plus fin. Ce type de moulinet vous permettra de mieux lancer votre appât et donc de pêcher plus loin. Il se marie parfaitement avec une canne appâts naturels ou télé-réglable Garbolino. Vous en trouvez des très sympas comme le GARBOLINO TROUT HUNTER UL ou plus techniques comme le SAKURA ALPAX 2000 .
2. Moulinet “récupérateurs ou réserves de fil” pour la pêche au toc
Les récupérateurs ont été conçus à l’origine comme une simple réserve de fil. Ils ont beaucoup évolué ces trois dernières années sous l’impulsion du bureau d’études GARBOLINO. En effet, partant des modèles existants nous avons corrigé les principaux défauts rencontrés :
- pas ou peu de frein : les modèles ATR et DTR ont un réglage de frein micrométrique.
- emmelâge du fil : les fils avaient tendance à passer ente l’axe et la bobine pour venir se coincer dans les engrenages : la solution est venue d’une bobine plus enveloppante et de tolérances entres les pièces plus serrées.
- Récupération : les récupérateurs de par leur conception simple ramenaient le fil très lentement, les series ATR et DTR ont une récupération démultipliée.
L’immense fierté de GARBOLINO est d’avoir rendu technique et fiable le moulinet récupérateur.
Ce type de moulinet est à conseiller en priorité pour les cannes « fil intérieur », « appâts naturels » et les « télé-réglables ». Très léger, il s’adapte parfaitement à ce type de cannes à pêche, de plus de par la méthode d’enroulement le fil ne sort jamais « vrillé».
Pour conclure, avec une canne « fil intérieur », utilisez de préférence un récupérateur ATR ou DTR GARBOLINO et sur les cannes « appâts naturels » et « télé-réglables » vous pouvez utiliser indifféremment les deux types de moulinets.
Dans le cas de cannes « appâts naturels » le type de moulinet dépend de la dimension des rivières que vous abordez, nous vous conseillons en petite rivière l’ATR ou le DTR et pour les rivière moyennes à grandes un moulinet à lancer à tambour.
Pour aller plus loin
Afin approfondir vos connaissances sur la pêche de la truite au toc, n’hésitez à consulter notre site internet garbolino.fr, et suivez nous sur notre chaîne Youtube.
Vous pourrez y retrouver pour tous les produits et toutes les pêches portés par la marque:
- des conseils et fiches techniques produits. Pour consulter les fiches produits des cannes fil intérieur Garbolino cliquez ici.
- des articles relatifs à des parties de pêche ou sur les stratégies à adopter
- mais aussi des articles avec des conseils sur les principes et règles à respecter pour une partie de pêche réussie.
Histoire
Fondée en 1945 par Henri Garbolino, l’entreprise est une
marque de pêche française, . En 1960, les premières cannes en fibre de verre apparaissent. Dès 1977, c’est le composite qui apparaît. Puis, le carbone avec de l’utilisation de l’enroulement ou des nappes. Aujourd’hui, la majorité des pays européens ont des produits Garbolino sur leur marché. Parmi les différentes techniques de pêche, la marque se concentre en particulier sur la pêche au coup,
grande canne, anglaise et feeder. Elle est aussi une marque reconnue pour la
pêche de la truite aux appâts naturels.
La pêche au coup de Compétition est à la pêche au coup de loisirs ce que la Formule 1 est à l’automobile. Une véritable niche où les pêcheurs extériorisent leur passion au travers de leur investissement personnel. Tant au niveau de l’implication, de la préparation que de l’investissement financier, il faut le reconnaître.
C’est dans ce giron, qu’au fil des années on peut voir et même toucher du doigt la fantastique évolution du matériel (grandes cannes, cannes à anneaux, stations, amorces etc.) mais aussi des stratégies et des techniques.
D’un point de vue extérieur, la pêche au coup, statique par essence, n’est certes pas celle qui procure le plus de sensations. Un combat avec un gardon est sans commune mesure avec celle d’un brochet par exemple. Mais à y regarder de plus prêt, comme dans toute technique, ce sont tous les moyens mis en œuvre pour arriver à leurs fins, qui impressionnent chez les compétiteurs. Les grands compétiteurs au coup, champion des temps modernes, est polyvalent. Il manie une grande canne de 13 mètres et plus. Parfois, il sait aller chercher des poissons au-delà de 50 mètres du bord ! Pour cela il faut une réelle préparation mentale et physique. A l’opposé de l’image d’Epinal du pêcheur lové sur son siège en bois et son volumineux bouchon.
2. Ouvert à tous
Mais il ne faut pas croire la pêche au coup de compétition réservée à une élite. Ce fut le cas par le passé car le matériel, surtout les grandes cannes au coup de qualité, était hors de prix. Mais le temps des castes est aujourd’hui révolu. Et la porte grande ouverte aux novices qui peuvent se battre à armes égales contre leurs pairs, grâce à cette évolution du matériel dont je parlais en introduction. Pour que vive la pêche au coup de manière générale, nombreux compétiteurs passionnés, tous bénévoles s’impliquent dans des animations, des écoles de pêche. Il est loin le temps où les recettes d’amorce étaient jalousement gardées. IL n’y a plus de secret.
3. La compétition de pêche au coup aujourd’hui
Preuve que les mentalités évoluent, les grandes épreuves ont pris aujourd’hui une importance considérable dans le calendrier national et européen. Les Masters de l’Est furent le précurseur de cette nouvelle ère. Suivi par le Challenge Rive-Drennan, Rameau d’Or, ces grosses compétitions ont redonné du rêve aux compétiteurs par la formule qu’elle propose : Libertés de techniques et d’amorçage, dotation exceptionnelle. Qui plus est, elles ont su marier compétition et convivialité. Pari osé, mais aujourd’hui leur créateur, dont votre serviteur, sont fiers qu’elles aient fait des petits. Festival Sensas, Master Du Gard, Master Trophy, Master’icaine !
Les catégories dans les championnats s’étoffent elles aussi pour faire plaisir à tous les passionnés. Ainsi ils peuvent se mesurer aux autres. Grande canne et anglaise toujours mais aussi carpe au coup, plombée !
J’invite tout le monde à venir voir les concours et se rapprocher des compétiteurs. L’échange est très formateur et les plus grands champions ne demandent qu’à partager leur savoir.
La pêche au coup de Compétition est à la pêche au coup de loisirs ce que la Formule 1 est à l’automobile. Une véritable niche où les pêcheurs extériorisent leur passion au travers de leur investissement personnel. Tant au niveau de l’implication, de la préparation que de l’investissement financier, il faut le reconnaître.
C’est dans ce giron, qu’au fil des années on peut voir et même toucher du doigt la fantastique évolution du matériel (grandes cannes, cannes à anneaux, stations, amorces etc.) mais aussi des stratégies et des techniques.
1. Un sport
D’un point de vue extérieur, la pêche au coup, statique par essence, n’est certes pas celle qui procure le plus de sensations. Un combat avec un gardon est sans commune mesure avec celle d’un brochet par exemple. Mais à y regarder de plus prêt, comme dans toute technique, ce sont tous les moyens mis en œuvre pour arriver à leurs fins, qui impressionnent chez les compétiteurs. Les grands compétiteurs au coup, champion des temps modernes, est polyvalent. Il manie une grande canne de 13 mètres et plus parfois, sait aller chercher des poissons au-delà de 50 mètres du bord ! Pour cela il faut une réelle préparation mentale et physique. Elle est loin l’image d’Epinal du pêcheur lové sur son siège en bois et son volumineux flotteur.
2. Ouvert à tous
Mais il ne faut pas croire que la pêche au coup de compétition est réservée à une élite. Ce fut le cas par le passé car le matériel, surtout les grandes cannes au coup de qualité, était hors de prix. Mais le temps des castes est aujourd’hui révolu et la porte est grande ouverte aux novices qui peuvent se battre à armes égales contre leurs pairs, grâce à cette évolution du matériel dont je parlais en introduction. Pour que vive la pêche au coup de manière générale, nombreux compétiteurs passionnés, tous bénévoles s’impliquent dans des animations, des écoles de pêche. Il est loin le temps où les recettes d’amorce étaient jalousement gardées. IL n’y a plus de secret.
3. La compétition d’aujourd’hui
Preuve que les mentalités évoluent, les grandes épreuves ont pris aujourd’hui une importance considérable dans le calendrier national et européen. Les Masters de l’Est furent le précurseur de cette nouvelle ère. Suivi par le Challenge Rive-Drennan, Rameau d’Or, ces grosses compétitions ont redonné du rêve aux compétiteurs par la formule qu’elle propose : Libertés de techniques et d’amorçage, dotation exceptionnelle. Qui plus est, elles ont su marier compétition et convivialité. Le pari était osé, mais aujourd’hui leur créateur, dont votre serviteur, sont fiers qu’elles aient fait des petits : Festival Sensas, Master Du Gard, Master Trophy, Master’icaine !
Les catégories dans les championnats s’étoffent elles aussi pour faire plaisir à tous les passionnés et leur permettre de se mesurer aux autres : Grande canne et anglaise toujours mais aussi carpe au coup, plombée !
J’invite tout le monde à venir voir les concours et se rapprocher des compétiteurs. L’échange est très formateur et les plus grands champions ne demandent qu’à partager leur savoir.
Petit lexique de la pêche au feeder
Feeder
En Anglais c’est une mangeoire ! Pour la pêche, ce terme désigne la cage qui sert de lest pour propulser la ligne mais aussi à transporter les esches et l’amorce sur le coup. Par extension, on parle aussi fréquemment de “pêche au feeder” pour designer la technique, une dénomination utilisée par la fédération internationale et qui a tendance à se généraliser.
Le feeder est bien une mangeoire !
Quiver-tip
Le bout qui tremble en anglais. C’est le fondement même de la pêche au feeder : le moyen utilisé pour déceler les touches. La pêche au quiver tip désigne de la façon la plus “juste” cette technique de pêche.
Pêche à la plombée
La plombée, c’est la pêche “au posé” avec un feeder ou un plomb, mais n’évoque pas le mode de détection des touches. C’est pourtant le principe qui différencie la technique de pêche au feeder. C’est aussi le terme utilisé par la Fédération Française de Pêche Sportive au Coup pour franciser la pêche au feeder.
Le scion – le tip :
C’est la portion terminale de la canne qui est interchangeable. Il existe des scions de puissance et de matière différente. On choisi la puissance du scion en fonction du poisson recherché et des conditions de pêche.
Les mouvements du scions indiquent les touches
Tête de ligne
On trouve aussi le terme de Shock leader. C’est une portion de nylon de 10 m, placée au bout de la ligne quand on pêche avec de la tresse. La tresse n’ayant aucune élasticité, le rôle de la tête de ligne est d’absorber les chocs au moment du lancer et des ferrages.
Ligne clip
C’est le petite “languette” présente sur les bobines des moulinets qui sert à fixer le fil pour ranger son moulinet. Au feeder, le ligne clip est utilisé en action de pêche pour sauvegarder la distance et lancer avec précision à chaque rappel.
Un feeder d’un genre particulier : le pellet-feeder
Pour aller plus loin
Afin approfondir vos connaissances sur la pêche au moulinet, n’hésitez à consulter notre site internet garbolino.fr, et et suivez nous sur notre chaîne Youtube.
Petit lexique de la pêche au feeder
Feeder
En Anglais c’est une mageoire ! Pour la pêche, ce terme designe la cage qui sert de lest pour propulser la ligne mais aussi à transporter les esches et l’amorce sur le coup. Par extension, on parle aussi fréquemment de “pêche au feeder” pour designer la technique, une dénomination utilisée par la fédération internationale et qui a tendance à se généraliser.
Le feeder est bien une mangeoire !
Quiver-tip
Le bout qui tremble en anglais. C’est le fondement même de la pêche au feeder : le moyen utilisé pour déceler les touches. La pêche au quiver tip désigne de la façon la plus “juste” cette technique de pêche.
Pêche à la plombée
La plombée, c’est la pêche “au posé” avec un feeder ou un plomb, mais n’évoque pas le mode de détection des touches. C’est pourtant le principe qui différencie la technique de pêche au feeder. C’est aussi le terme utilisé par la Fédération Française de Pêche Sportive au Coup pour franciser la pêche au feeder.
Le scion – le tip :
C’est la portion terminale de la canne qui est interchangeable. Il existe des scions de puissance et de matière différente. On choisi la puissance du scion en fonction du poisson recherché et des conditions de pêche.
Les mouvements du scions indiquent les touches
Tête de ligne
On trouve aussi le terme de Shock leader. C’est une portion de nylon de 10 m, placée au bout de la ligne quand on pêche avec de la tresse. La tresse n’ayant aucune élasticité, le rôle de la tête de ligne est d’absorber les chocs au moment du lancer et des ferrages.
Ligne clip
C’est le petite “languette” présente sur les bobines des moulinets qui sert à fixer le fil pour ranger son moulinet. Au feeder, le ligne clip est utilisé en action de pêche pour sauvegarder la distance et lancer avec précision à chaque rappel.
Un feeder d’un genre particulier : le pellet-feeder
Les techniques dites à l’anglaise et à la bolognaise sont très utiles à la pêche au coup dans la recherche des beaux poissons. Elles permettent grâce à l’utilisation d’une canne à anneaux et d’un moulinet de rechercher nos cyprinidés préférés plus loin qu’à la canne au coup dans des zones où ils se sentent plus en sécurité. Les pêches à l’anglaise et à la bolognaise multiplient les chances du pêcheur de prendre du gros poisson en étang, canal, lac ou rivière et voici ce qui les différencient.
Cannes anglaise bolognaise bien protégées dans une fourreau multi- poches
PECHE A LA BOLOGNAISE
C’est comme si la pêche à la bolognaise existait depuis toujours. Nos anciens l’appelaient il y a des décennies “pêche à la longue coulée” mais ce sont nos voisins italiens qui lui ont donné son titre de noblesse, d’où son nom actuel. Rarement utilisée en eau close, la pêche à la bolognaise est excellente en rivière. Il est très fréquent qu’en été le courant de certaines rivières ne soit pas atteignable à la grande canne. Il est alors intéressant d’aller chercher les poissons plus loin, où l’eau est plus vive.
En France, les lignes pour pêcher à ” la longue coulée” ne diffèrent finalement pas des lignes de pêche au coup. Hormis leur poids supérieur pour lancer la ligne assez loin, le montage est similaire.
Canne Bolognaise G Max Super Legion
Pêche à la bolognaise sur la rivière Tarn
Matériel pour la bolognaise
Pour le matériel, utilisez une canne télescopique à anneaux de cinq à huit mètres, le compromis se trouvant à six mètres pour débuter. Pourquoi une telle longueur même dans les faibles profondeurs ?
Tout simplement pour pouvoir soustraire un maximum de fil en contact avec l’eau et mieux contrôler sa coulée. Montez un moulinet à la récupération raisonnable. En effet, si vous rembobinez vite dans un fort courant, les risques de vrillage du bas de ligne sont importants, même en présence d’un émerillon.
La pêche à la bolognaise se pratique toujours en aval.
Une fois la ligne lancée, le flotteur va parcourir une distance plus ou moins importante dans le courant le temps que la plombée descende la couche d’eau et soit bien en place vers le fond. L’hameçon doit se trouver en aval du flotteur, c’est ce qu’on appelle une ligne bien pêchante, prête à prendre du poisson. Dans le cas contraire où le flotteur précède l’hameçon la présentation est moins bonne…Amorcez donc systématiquement plusieurs mètres en aval pour être sûr que la ligne arrivera dans les meilleures dispositions là où se trouve vos appâts.
Pêche à l’anglaise
La pêche à l’anglaise est une technique existant également depuis longtemps. Pour preuve, l’anglais Billy Lane remportait le championnat du monde avec cette technique en 1963…
A l’anglaise le flotteur pré- plombé part le premier
Après une arrivée très discrète et timide en France, “l’anglaise” a gagné au fur et à mesure le cœur des pêcheurs tricolores. Amateurs comme compétiteurs.
Les cannes à l’anglaise
La pêche à l’anglaise permet grâce à sa canne à anneaux et son moulinet de pêcher en étang, canal ou rivière lente plus loin que vous permet une canne au coup. C’est donc une technique terriblement efficace pour chercher les beaux poissons. Car ils sont peu enclins à se rapprocher du bord. Leur méfiance s’explique par leur sagesse, la pression de pêche, ou des eaux de plus en plus claires. Une autre explication pourrait être que leur refuge naturel ou bien que leur zone optimale d’alimentation sont éloignées.
1 modèle de canne anglaise 3 brins
Les cannes pour la pêche à l’anglaise mesurent environ 4m. Elles sont composées en moyenne de treize à seize anneaux. Ils sont indispensables à la bonne glisse du fil et que l’action de la canne soit la mieux utilisée. Plébiscités, les modèles à emboîtement dominent le marché mais les amateurs de cannes télescopiques peuvent encore largement trouver leur bonheur.
Il existe également des modèles plus longs 4m50 pour pêcher avec des gros flotteurs et très loin . Ou bien des modèles plus courts, jusqu’à 3m en deux brins, pour des pêches à plus courte distance.
Les moulinets pour l’anglaise
Le choix du moulinet pour la pêche à l’anglaise est également très important. Choisissez un modèle avec une bobine assez large, permettant une meilleure sortie du fil,. Vous pourrez ainsi pêcher plus loin et d’éviter les emmêlements.
Flotteurs pêche à l’anglaise by Garbolino
Les pêcheurs ont gardé le nom « waggler », désignant par les anglais ce flotteur atypique. Contrairement aux flotteurs coup et bolognaise, ce flotteur n’est attaché qu’en un seul point. Sa base représente le point d’attache. Cela permet quand les journées sont venteuses de limiter la dérive du flotteur en noyant facilement la bannière.
Au fixe ou au coulissant
La plus grosse évolution dans la pêche à l’anglaise ces dernières années, c’est la démocratisation de la pêche au coulissant et pas seulement dans les eaux plus profondes que la longueur de la canne. Elle permet de présenter une ligne immobile et stable même en présence de vent. Elle permet aussi de ralentir la ligne dans le courant en rivière lente. Et de sélectionner la taille des prises grâce à la plombée plus importante sur la ligne pouvant rebuter les petits poissons.
Contrairement à la pêche au flotteur fixe où 10 à 20% de la plombée se trouve sur la ligne, dans le cas d’une pêche à l’anglaise au coulissant la plombée sur la ligne peut représenter jusqu’à 80% du poids total.
Cette différence bouleverse considérablement l’action de la ligne dans l’eau. Mais attention la pêche à l’anglaise au flotteur fixe avec seulement deux ou trois plombs sur la ligne n’est pas encore tombée dans les oubliettes…
Bolognaise, Anglaise,… Plein de techniques s’offrent à vous pour multiplier les options de pêche quand la canne au coup ne suffit plus. Alors Amusez-vous!
Les techniques dites à l’anglaise et à la bolognaise sont très utiles à la pêche au coup dans la recherche des beaux poissons. Elles permettent grâce à l’utilisation d’une canne à anneaux et d’un moulinet de rechercher nos cyprinidés préférés plus loin qu’à la canne au coup dans des zones où ils se sentent plus en sécurité. Les pêches à l’anglaise et à la bolognaise multiplient les chances du pêcheur de prendre du gros poisson en étang, canal, lac ou rivière et voici ce qui les différencient.
PECHE A LA BOLOGNAISE.
C’est comme si la pêche à la bolognaise existait depuis toujours. Nos anciens l’appelaient il y a des décennies “pêche à la longue coulée” mais ce sont nos voisins italiens qui lui ont donné son titre de noblesse, d’où son nom actuel. Rarement utilisée en eau close, la pêche à la bolognaise est excellente en rivière. Il est très fréquent qu’en été le courant de certaines rivières ne soit pas atteignable à la grande canne. Il est alors intéressant d’aller chercher les poissons plus loin, où l’eau est plus vive.
En France, les lignes pour pêcher à ” la longue coulée” ne diffèrent finalement pas des lignes de pêche au coup, hormis leur poids supérieur, nécessaire pour pouvoir lancer la ligne assez loin.
Pour le matériel, utilisez une canne télescopique à anneaux de cinq à huit mètres, le compromis se trouvant à six mètres pour débuter. Pourquoi une telle longueur même dans les faibles profondeurs ?
Tout simplement pour pouvoir soustraire un maximum de fil en contact avec l’eau et mieux contrôler sa coulée. Montez un moulinet à la récupération raisonnable car si vous rembobinez vite dans un fort courant, les risques de vrillage du bas de ligne sont importants, même en présence d’un émerillon.
La pêche à la bolognaise se pratique toujours en aval.
Une fois la ligne lancée, le flotteur va parcourir une distance plus ou moins importante dans le courant le temps que la plombée descende la couche d’eau et soit bien en place vers le fond. L’hameçon doit se trouver en aval du flotteur, c’est ce qu’on appelle une ligne bien pêchante, prête à prendre du poisson. Dans le cas contraire où le flotteur précède l’hameçon la présentation est moins bonne…Amorcez donc systématiquement plusieurs mètres en aval pour être sûr que la ligne arrivera dans les meilleures dispositions là où se trouve vos appâts.
Pêche à l’anglaise
La pêche à l’anglaise est une technique existant également depuis longtemps. Pour preuve, l’anglais Billy Lane remportait le championnat du monde avec cette technique en 1963…
Après une arrivée très discrète et timide en France, “l’anglaise” a gagné au fur et à mesure le coeur des pêcheurs tricolores, amateurs comme compétiteurs.
La pêche à l’anglaise permet grâce à sa canne à anneaux et son moulinet de pêcher en étang, canal ou rivière lente plus loin que vous permet une canne au coup. C’est donc une technique terriblement efficace pour chercher les beaux poissons non enclins à se rapprocher au bord à cause de la pression de pêche, des eaux de plus en plus claires, ou parce que leur refuge naturel ou bien que leur zone optimale d’alimentation sont éloignées.
Les cannes pour la pêche à l’anglaise mesurent environ 4m. Elles sont composées en moyenne de treize à seize anneaux, indispensables à la bonne glisse du fil et que l’action de la canne soit la mieux utilisée. Plébiscités, les modèles à emboîtement dominent le marché mais les amateurs de cannes télescopiques peuvent encore largement trouver leur bonheur.
Il existe également des modèles plus longs 4m50 pour pêcher avec des gros flotteurs et très loin et des modèles plus courts, jusqu’à 3m en deux brins, pour des pêches à plus courte distance.
Le choix du moulinet pour la pêche à l’anglaise est également très important. Choisissez un modèle avec une bobine assez large, permettant une meilleure sortie du fil, de pêcher plus loin et d’éviter les emmêlements.
Les pêcheurs ont gardé le nom « waggler », désignant par les anglais ce flotteur atypique. Contrairement aux flotteurs pour la pêche au coup et pour la pêche à la bolognaise, ce flotteur n’est attaché qu’en un seul point et par sa base.Cela permet quand les journées sont venteuses de limiter la dérive du flotteur en noyant facilement la bannière.
Au fixe ou au coulissant
La plus grosse évolution dans la pêche à l’anglaise ces dernières années, c’est la démocratisation de la pêche au coulissant et pas seulement dans les eaux plus profondes que la longueur de la canne. Elle permet de présenter une ligne immobile et stable même en présence de vent, de ralentir la ligne dans le courant en rivière lente et de sélectionner la taille des prises grâce à la plombée plus importante sur la ligne pouvant rebuter les petits poissons.
Contrairement à la pêche au flotteur fixe où 10 à 20% de la plombée se trouve sur la ligne, dans le cas d’une pêche à l’anglaise au coulissant la plombée sur la ligne peut représenter jusqu’à 80% du poids total.
Cette différence bouleverse considérablement l’action de la ligne dans l’eau, mais attention la pêche à l’anglaise au flotteur fixe avec seulement deux ou trois plombs sur la ligne n’est pas encore tombée dans les oubliettes…
Bolognaise, Anglaise,… plein de techniques s’offrent à vous pour multiplier les options de pêche quand la canne au coup ne suffit plus. Alors Amusez-vous!
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